Alors Biarritz, c’est beau évidemment et ce qui saisit immédiatement, ce sont ces vagues aux portes de la ville. Entre deux immeubles, elles viennent se jeter avec force sur le sable frais en cette saison. L’océan d’ici impressionne, il est vraiment puissant, et même si les surfeurs s’en donnent à cœur joie, même aujourd’hui en ce mois d’hiver… Biarritz demeure une plage hyper dangereuse, connue pour ses lames de fond qui emportent au loin et en garantie aucun retour.
Mais Biarritz c’est aussi ces signes extérieurs de richesse, tout ce que je déteste. Même si les apparences laissent songer à la simplicité, aucune paire de basket ne flirt en dessous de 400€.
Et puis le petit Bayonne et son architecture typique du pays basque, son « rouge basque », ces bâtisses trapues et puissantes, sa calligraphie, sa langue traditionnelle locale, l’euskara. Nous y sommes !
Mais pourquoi Bayonne me rappelle autant Amsterdam ?