Sophie est basée en sud Ardèche à Lablachère. Photojournaliste depuis 2005, elle s’intéresse principalement aux sujets qui font sens, aux témoignages, aux mouvements sociaux et sociétaux. Elle travaille également sur certains projets avec les professionnels et les particuliers.
Correspondante de presse depuis 2021, enseignante en danse depuis 2012, Sophie est également maman de deux enfants depuis 2004. Elle vibre au travers de différentes activités essentielles à son épanouissement.
Par la photo elle a trouvé le moyen de garder un sentiment fort, d’inscrire des instants de vie, de témoigner de sa réalité, du vivant et le préserver à jamais. Ce qui lui importe le plus est de s’investir dans des projets qui font sens, de rapporter les faits et les choses telles qu’ils se sont déroulés, comme un patrimoine.
En d’autres termes, Sophie communique : la danse, l’écriture et la photographie. Raconter, témoigner, capturer l’instant des événements avec soin et esthétisme.
« La photographie est un fragment de temps qui ne reviendra pas. » Martine Franck
Dès 2005 elle se professionnalise, intègre la WPJA…
Sophie s'interesse aux projets des professionnels, des particuliers et developpe ses propres idées
Témoigner du réel à échelle sociétale, raconter le quotidien, évoquer les problématiques de notre pays
VoirInvitation à une immersion totale, là où le réel nous échappe, rendez-vous à l’essentiel, au centre de l’intime
VoirCollaborer avec les entreprises, valoriser les produits et les biens par l’image, témoigner de moments de vie au sein de celle-ci…
VoirAttester des tranches de vie, participer et restituer ces instants clés, raconter votre histoire, dans tout son merveilleux…
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Les iris se sont parés de leurs plus beaux pétales. Avec arrogance et fierté, ils ornent et esquissent le chemin qui mène à la Ferme Théâtre de Lablachère. Entre le chant des oiseaux et le tintamarre de la Basilique, nous y sommes. Surplombant le panorama, campée solidement au sommet…
Lire la suite...“Je vais te montrer un endroit merveilleux, si j’avais ça je serai le plus heureux. Je vais t’y amener.” Ainsi soit il. Après le cimetière de tracteurs, nous voilà dans un corps de ferme datant de 1844. Ce lieu entretenu semble abandonné. Un chantier de rénovation assez important s’impose….
Lire la suite...Ou quand un projet en appelle un autre… Alors que je travaillais sur un reportage, l’attente m’oblige à errer ça et là. Voilà que mon binôme me propose d’aller jeter un œil dans le hangar “d’en face”… Voilà ma découverte : un cimetière de tracteurs ! Des calandres de…
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