Friche de la fonderie

En continuant notre balade après le coup de cœur émaillé, on découvre un autre lieu, le dernier de la journée. Immense, gigantesque. On trépigne car il y a beaucoup à découvrir, parce que la nuit arrive à grand pas… on croise deux hommes étrangers au lieu, une pèle sur l’épaule… vas savoir ce qu’ils faisaient là ?
Ces hangars sont si grands que je n’ose même pas tenter d’exprimer leur surface…
Traitement des déchets aujourd’hui si nous comprenons bien.
De veilles installations désuets, rouillées, cohabitent avec des engins plus modernes. Pour sûr cet espace est visité régulièrement alors qu’il semble encore en activité. De nombreux graffs en témoignent, un des hangars éclairé également.
Ce lieu aurait été jadis les une fonderie donc.
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 002
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 003
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 004
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 006
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 007
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 008
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 009
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 010
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 012
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 014
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 015
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 017
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 018
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 019
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 020
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 021
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 022
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 026
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 027
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 028
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 035
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 036
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 037
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 039
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 040
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 041
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 043
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 025
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 047
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 051
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 052
previous arrow
next arrow
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 002
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 003
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 004
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 006
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 007
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 008
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 009
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 010
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 012
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 014
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 015
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 017
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 018
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 019
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 020
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 021
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 022
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 026
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 027
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 028
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 035
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 036
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 037
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 039
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 040
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 041
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 043
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 025
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 047
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 051
2023 02 04 - Urbex Tamaris - Sokebana - 052
previous arrow
next arrow
L’activité des usines Tamaris s’est achevée en 2013 visiblement comme en témoigne cet article LAURENT GUTTING dans le midi libre publié le

Une photo de Sylvain Valero parue dans « Midi Libre » a inspiré des grapheurs anonymes.

« Ils sont venus un jeudi matin pour me demander la permission de dessiner mon portrait. Ils avaient vu la photo dans « Midi Libre ». Je leur ai dit : « Allez-y ! » Pourquoi moi en particulier et pas un des trois collègues qui étaient aussi dans cet article, je ne sais pas. Et je ne leur ai même pas demandé ! »

« Ça fait bien marrer les collègues »

Ancien ouvrier des usines de Tamaris, Sylvain Valero vient, chaque semaine, avec quelques autres, sur le site, bouclé en 2013, laissé depuis à l’abandon et devenu le terrain de jeu, et d’expression, des grapheurs de la région. La cohabitation entre les deux confréries s’est toujours vécue en bonne intelligence. Les anciens occupants de ce qui est, désormais, une friche industrielle délabrée croisent, en fait, rarement les artistes et leurs bombes de peintures.

Quelle ne fut pas la surprise de Sylvain Valero quand il reçut, de vive voix, en personne, la polie et bienveillante demande pour servir de modèle. « On ne les a plus revus après. Je ne sais pas qui ils sont. En revanche, le jeudi suivant, pendant notre petite balade hebdomadaire, on a vu le graffiti sur les murs. Depuis, ça fait bien marrer les collègues… »

Des ouvriers qui, le 21 septembre, ont assisté en nombre, à l’audience en appel au tribunal de grande instance de Nîmes, sur le procès du montant de leurs indemnités et du préjudice après les licenciements qui remontent, pour la majorité, à mai 2013. Le jugement a été mis en délibéré pour le 22 novembre. Par ailleurs, les anciens de Tamaris ne savent rien des rumeurs d’un éventuel rachat du site. Le portrait de Sylvain Valero n’est pas prêt de disparaître… »

et puis un autre un peu plus tard, et de fait, des images d’époques, exceptionnel !