De cette usine destinée au traitement du lin, il ne reste que les murs, les murs et quelques murets je voudrais dire.
On remarque et on comprend très rapidement que le lieu a été largement squatté par des réfugiés en attente de départ pour la Grande Bretagne. De cette attente, il demeure, ces espaces de fortune créés à la hâte pour définir un peu d’intimité ou de propriété. Grande problématique dans le Nord qui interroge et force à des aménagements de voirie…