L’accueil débute par une peinture murale de Korail qui donne le ton.
Un endroit qui porte une laide légende de suicide.
Un espace aussi beau qu’angoissant où gît un vieux piano droit, explosé, dissonant tel un horrible film d’horreur qui nous ferait suer des gouttes comme le poing la nuit venue.
Cette poutre cramoisie qui menace de nous empaler à chaque instant ; la regarder évoque un sentiment d’intrusion et semble déjà nous pénétrer.
Et puis une chaise haute pour le petit. Quel petit d’ailleurs ?
Une belle baignoire en fonte au milieu de tout cela… où était la salle de bain?
Ce château demeure investi de tourments… Je préfère partir…